Batbatheni
2011-03-13 23:47:26 UTC
Je profite de ce que le correcteur se rend compte des excès de ponctuation, mais en néglige les manques évidents…
Il m’est difficile de passer sous silence l’existence de Sainte Aphrodise, dont on nous dit qu’elle fut entremetteuse et, qu’avec ses neuf filles, elle tenta (en vain, rassurez-vous, lecteur effrayé) de corrompre la pure chasteté de Sainte Agathe.
A-t'on idée aussi de porter un nom pareil !
Cette dernière fut ensuite comme il est de coutume, mamotectomiée, emprisonnée, affamée, etc. etc, la routine quoi.
Nous mentionnerons également Saint Euschemon, Saint Eutyche, et Saint Théognoste, pour la luxuriance de leurs noms qui nous change un peu des Kevin et autres prénoms actuels.
J’eusse aimé me prénommer Théognoste; Théognoste Batbath, ça vous a une gueule à terminer major de promo à l’Institut des Hautes Études Catholiques de l’Université de Louvain.
(Théognoste, j’insiste, pourrait être traduit par “connaissant Dieu”; on ne saurait mieux dire).
Il me faut faire amende honorable, Christine de Suède ne parlait ni cinq, ni sept langues, mais huit.
Plus, je pense, le grec et le latin.
Tels étaient les dirigeants au XVIIIe.
Je me demande combien de langues parlent les grands communicateurs et dirigeants actuels (Chirac, Sarkozy, Aubry, et consorts (mis à part la langue de bois et le kasstoipôvkhon. (idiome vernaculaire élyséen (très momentanément)))).
Nous allons saluer la naissance de Crebillon, le fils, en 1707.
De Giovanni Virginio Schiaparelli, en 1835, qu’il ne faut pas confondre avec Elsa, l’un a découvert les canaux de Mars, l’autre la jupe-culotte.
D’Albert Einstein en 1879, qui lui a découvert que :
”Deux choses sont infinies: l’univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l’univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.”
Celle de Quincy Jones (1933), un grand arrangeur et compositeur qui a travaillé pour les plus grands ainsi que pour Maïkeule Jaquesonne, ce qui prouve que personne n'est parfait…
Ici avec Toots (Jean-Baptiste Frédéric Isidore) Thielemans qui a joué avec les plus grands, mais pas avec Maïkeule Jaquesonne, ce qui prouve que les belges ont du bon sens, (sauf en politique):
http://www.wat.tv/video/quincy-jones-toots-thielemans-mkkz_2flcz_.html
D’Albert Grimaldi (1958), prince qu’on sort, et quintuple baron* alors que Toots Thielemenans n'est que simple baron.
(comte Albert de Polignac, prince de Monaco, duc de Valentinois, comte de Carladès, *baron de Calvinet, seigneur de Saint-Rémy, sire de Matignon, comte de Torigni, *baron de Saint-Lô, *baron de Luthumière, *baron de Hambye, duc de Mazarin, duc de Mayenne, prince de Château-Porcien, comte de Ferrette, de Belfort, de Thann et de Rosemont, *baron d’Altkirch, seigneur d’Issenheim, marquis de Chilly, comte de Longjumeau et marquis de Guiscard… pouf, pouf…)
A l’heure de mettre sous presse, nous apprenons également le décès de Karl Marx, (1883), barbu philosophe, qui a quelque peu occulté Saint-Simon, Fourier, Proudhon et Cabet.
On sent bien là l'économiste: un seul anniversaire par an…
Et celui, en 1967 de Marcel Aymé, dont j’ai lu beaucoup plus d’œuvres que de Karl Marx.
Une petite coutume (une seule fois par an, c'est heureux, un barrage tous les 50 mètres, il faut partir armé de petite monnaie !) locale: les gamins stoppent les véhicules dans les petites rues et demandent un droit de passage.
Une autre coutume, laquelle n'est pas locale, notre véhicule mercenaire tombe en panne, démarreur coincé en arrivant chez nous… Les chats (très sauvages (sic), il y en a aux alentours de six et il n'est pas question de les toucher) en sont fort étonnés, enfin, je suppose :
http://www.youtube.com/watch?v=IxUvg5DdAbQ
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